Le club des incorrigibles optimistes / Jean-Michel Guénassia ****

Entre 1952 et 1980, un jeune homme découvre un club d'échecs tenu par des immigrés russes, à l'arrière boutique d'un bistrot parisien. Entre l'ère stalinienne et la guerre franco-algérienne, les protagonistes s'opposent, se divisent, tous anciens grands spécialistes dans leur domaine (chirurgie, photographie, etc) et devenus (faute de reconnaissance de leur diplôme par l'état français ou par peur de représailles) taxis, ambulanciers, etc. Faux-semblants et secrets se multiplient et se dévoilent. Belle écriture, informations historiques nombreuses et variées. Très bon roman accessible à tous (il faut juste être patient(e), plus de 700 pages tout de même mais on ne les voit pas passer), belle découverte littéraire. Succès amplement mérité.



Éditions Albin Michel.

à ma maison

10 commentaires:

  1. Mon gros coup de coeur de 2009 !
    Je garde un souvenir ému de cette lecture.
    Les souvenirs de David Foenkinos m'ont un peu replongé dans cette douce nostalgie.

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  2. I agree ! il me reste à lire Les souvenirs et tu me motive beaucoup dans ce sens.

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  3. J'ai trouvé ça loooooooong.... trop long ! et le personnage principal n'est vraiment pas sympathique... pas de coup de coeur pour moi !

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  4. Pas trop long pour moi : j'ai admiré la prouesse d'écriture !

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  5. J'ai adoré, un roman sans autre prétention que... d'être un roman, même si c'est autobiographique. Justement parce que c'est autobiographique, j'admire que l'auteur ait réussi à prendre de la distance et à ne pas en faire un récit un peu narcissique...

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  6. C'est vrai que la longueur peut occasionner du rejet ou de l'engouement, tout dépend de notre état d'esprit du moment et de la rencontre éventuelle du lecteur avec les personnages. Pour moi, elle a eu lieu !

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  7. J'ai adoré ce livre, moi aussi, je ne m'y suis pas ennuyée une minute !

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    1. Honnêtement, quand j'ai vu le nombre de pages, j'ai eu un peu peur mais cela passe vite et l'histoire se tient du début à la fin (je parle aussi de logique) : pour un premier roman, je tire mon chapeau !

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  8. coucou
    bavarde moi . je crois que tu as deviné qu'on ne m'arrête pas quand je suis passionnée.
    Ce livre qui est impressionnant par la taille se lit avec un vrai plaisir d’un bout à l’autre
    cette fois je m'arrête bonne journée
    evalire

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    1. Au contraire, être bavarde ne me semble pas un défaut et marque un caractère bien vivant ! Au moins, les bavards expriment plus d'informations importantes pour les lecteurs potentiels : oui, ce livre est chouette à lire et à découvrir !

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