La jeune fille et la perle, un livre lu en 2001 mais jamais oublié. Ce qui est remarquable reste à la fois la qualité littéraire de l'auteure (et de sa traductrice) tant dans le style que dans l'intrigue. Il est souvent rare d'obtenir les deux en même temps. Une jeune fille est engagée par le peintre ténébreux Vermeer pour s'occuper de la maisonnée et de sa nombreuse marmaille. Discrète et efficace, ressentant de plein fouet la hiérarchie sociale, miss Griet poursuit son petit bonhomme de chemin, décrivant ses nombreuses tâches, essuyant les petites humiliations. Et puis Vermeer l'observe, sent le potentiel visuel de la demoiselle et lui attribue un bijou de famille (non ce n'est pas ce que vous croyez)... arrive l'embrouille !
Voilà le bonheur de ce livre consiste à l'ouvrir et à poursuivre l'analyse en reluquant Colin Firth (oui, j'ai un faible pour cet acteur, inexplicable !) en Vermeer dans le film éponyme . Que de bonheur !
Voilà le bonheur de ce livre consiste à l'ouvrir et à poursuivre l'analyse en reluquant Colin Firth (oui, j'ai un faible pour cet acteur, inexplicable !) en Vermeer dans le film éponyme . Que de bonheur !
Traduction de Marie-Odile Fortier- Masek. Collection Folio - Éditions Gallimard
à ma maison
Bande-annonce de l'adaptation cinématographique par Peter Webber de l’œuvre de Tracy Chevalier
Une lacune dans ma culture littéraire... Je devrais le mettre dans ma LàL.
RépondreSupprimerOn ne peut pas tout lire mais ce livre reste un grand souvenir de Toulouse !
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