Pour ce très chouette rendez-vous avec Anne je vous propose le dernier titre sorti d'Indochine : No name.
Indochine est un groupe cher à mon cœur, un groupe qui se renouvelle et fait des propositions artistiques dans l'air du temps : ce groupe sait le capter -cet air-, et assume, à travers ses chansons, ses positions pleines d'humanisme, d'humanité et de convictions. Merci à Indo pour ce titre sans nom "No name" qui parle de genres et de vie, juste de vie, d'espoir et de bonheur. Enjoy and stay alive !
Il y a une fille comme toi, oui comme moi, à la route infinie.
Il y a une vie comme toi, comme moi, et ça n'en finit pas.
On aimerait retourner le monde et regarder droit devant.
La vie, maintenant !
Il y a une fille comme toi, une fille comme moi, qui part vers l'infini.
Il y a un garçon comme toi, un garçon comme moi, et ça n'en finira pas.
C'est comme un soleil sans fin, comme un ciel qui nous appartient.
Et tout ce qu'on y trouvera, c'est juste un endroit pour toi et moi.
Sous les volcans, regarde-moi et souris-moi !
Est-ce que ton cœur bat pour moi ?
Et que personne ne nous fracasse à notre place.
Et tant pis si le ciel ne nous veut pas !
Allez, viens avec moi !
Il y a un genre comme toi, un genre comme moi, à la route infinie.
Il y a un genre comme toi, comme moi, et ça n'en finira pas.
On pourra retourner le monde, se regarder justement.
La vie, maintenant !
Paroliers : Sirchis Nicolas / Delaume Chloe / Kozmik Charline
Je profite de ce petit post pour remercier les artistes, les radios et télévisions publiques françaises (France Inter et France TV, à fond), les journalistes du Monde et de Ouest-France, qui font bouger les lignes tout doucement mais sûrement, qui apportent de la visibilité sans brusquer, pour rendre les personnes invisibles plus visibles, pour donner aussi la voix aux présentateurs et présentatrices aux standards plus représentatifs que ceux des mannequins. Merci pour les fictions (séries, films), les documentaires et les concerts du quotidien. Merci aussi à toutes ces émissions de jeux populaires en fin de journée qui font travailler les méninges tout en s'amusant, qui laissent leurs participantes et participants parler respectivement de leur compagne ou compagnon. Grâce à toutes ces petites actions, on rend ce monde plus tolérant, sans rien lâcher, parce qu'y a du boulot, du gros boulot !
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