 Fredrik Welin vit en ermite sur une petite île de la Baltique, bien  tranquille et habitué par son bain quotidien dans la glace. Cet ancien  médecin de 66 ans voit débouler un jour un ancien amour Harriet, très  remontée et motivée à lui faire tenir une promesse de longue date. Alors  notre héros chéri (loin d'être angélique) va voir sa vie chambouler de  rencontres toutes féminines (Agnes, Louise, Sima et Harriet bien sûr)  qui vont abattre ses derniers retranchements et lui permettent de  revenir à la vie, la sienne... sous l’œil amusé mais néanmoins indiscret  du «facteur» Jansson. Une jolie histoire, une quête toute personnelle  de rédemption malgré la violence et un titre bien évocateur (les chaussures sont faites pour nous aider à aller de l'avant), Henning Mankell change de registre  avec brio. Toutefois, le style  (le sien ou celui de la traductrice)  mériterait plus de fluidité et de poésie.
Fredrik Welin vit en ermite sur une petite île de la Baltique, bien  tranquille et habitué par son bain quotidien dans la glace. Cet ancien  médecin de 66 ans voit débouler un jour un ancien amour Harriet, très  remontée et motivée à lui faire tenir une promesse de longue date. Alors  notre héros chéri (loin d'être angélique) va voir sa vie chambouler de  rencontres toutes féminines (Agnes, Louise, Sima et Harriet bien sûr)  qui vont abattre ses derniers retranchements et lui permettent de  revenir à la vie, la sienne... sous l’œil amusé mais néanmoins indiscret  du «facteur» Jansson. Une jolie histoire, une quête toute personnelle  de rédemption malgré la violence et un titre bien évocateur (les chaussures sont faites pour nous aider à aller de l'avant), Henning Mankell change de registre  avec brio. Toutefois, le style  (le sien ou celui de la traductrice)  mériterait plus de fluidité et de poésie.Livre traduit par Anna Gibson, édité en Points
emprunté à ma biblio chérie
 
Un peu déçue. A vrai dire, un peu marre de ces hommes qui se regardent le nombril, sont veules, lâches et indécis... Mais sinon, l'écriture est assez belle et le personnage de la fille plutôt bien troussé.
RépondreSupprimer@ liliba : je suis comme toi dans le sens, où au vu des critiques dithyrambiques, je m'attendais à un livre fort. Toutefois, j'ai bien aimé les rencontres féminines du héros, sa forme de rédemption sociale et humaine. Et puis on retrouve l'atmosphère noire de Mankell proche de celle de ses polars.
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